D'emblée, on associe le mot jardin à ce qui est beau, à ce qui est bon: fruits, fleurs… couleur, odeur, parfum… sensation de bien-être, de détente (même si on pioche)… jusqu'à la volupté, Mais, à quoi comparer la France dévastée par la guerre? Et ce n'est pas du cinéma… La lecture d'Effroyables jardins de Michel Quint le confirme, et en justifie le titre. Je vous rendez-vous sur Livranaute pour un billet. En voici un extrait :
En complément à la lecture de Max, je vous invite à lire Effroyables Jardins. Ce sont les deux côtés de la même médaille!
Effroyables Jardins
Michel Quint, Éditions Gallimard (collection Folio), 2004, 63 pages
«De fait, je le sais aujourd'hui, il méritait la distinction, la légion d'honneur de la reconnaissance, et ceux qui croisaient au trottoir son regard doux auraient dû se découvrir.Parce que lui, il a passé sa vie à rendre hommage, à payer sa dette d'humanité, le plus dignement qu'il croyait.» écrit l'auteur en parlant de son père, à la p 18.
Une fois ses parents en allés, le narrateur-auteur ressasse ses souvenirs et raconte son histoire.(...) Lire la suite sur Livranaute: http://livranaute.blogspot.com/2009/03/effroyables-jardins_09.html